En réalité oui, c'est délicat de s'épancher (s'étendre sans se répandre, dixit Gainsbourg dans 'Pauvre Lola' tube des sixties) sur le FDU, où tout est si clean, si carré, si blanc-bleu.
Il va falloir s'y mettre, que j'me dis. Si l'on pouvait dissoudre le mot 'voyeurisme' dans l'infinité de l'espace grâce aux moyens techno(logique)s qui nous sont proposés, on aurait moins de vieux et vieilles débiles en fin de carrière à guetter les premières rides de notre toute jolie Vanessa Depp née Paradis j'ai vu dans le journal qu'elle s'avait acheté une super propriété dans le WA) ou la prise de poids de Gégé Deux Par Deux. Il faut que tout le monde vive, et l'amour et ses corollaires sont expériences (genre) obligatoires pour un être humain.
Ne nous impliquons pas dans l'élaboration d'une génération de frustrés, les frustrations sont autant de 'dead ends', nécroses, appellant la négativité ou les réactions négatives, la frilosité [...]
A nous de deviner ce qui est choquant, déplacé, vulgaire, malvenu, ostensiblement provok, et d'essayer d'affiner nos plumes, ne serait-ce que pour faire rêver les camarades qui ont moins de temps, moins de soleil, moins de grâce, ect.
Ceci dit, je suis très très loin d'être une pro (en écriture, s'entend). Vous voulez tout de même quelques témoignages ? (et c'est là que j'rigole moins)... Bon, allez, on se fait un tennis par une belle journée comme celle-ci ?