L’équipe de France des Moins de 21 ans a réussit l’exploit en s’imposant contre l’Australie hier soir, sur le score sans appel de 32 à 17. Les Bleuets ont fait grande impression, inscrivant cinq essais contre deux pour des Wallabies, et relevant sans problème le défi physique. Ils joueront la finale dimanche à 18 heures contre les Springboks, champions du monde en titre et vainqueurs des Néo-Zélandais en demi-finale 40 à 23.

ITALY NEXT AND THEN THE WORLD
TOM SMITHIES
24jun06

THEY ARE the storm troopers who have set the World Cup ablaze.

After fighting their way into the second round of the finals, the Socceroos yesterday declared: Bring on the rest.

The 2-2 draw with Croatia in Stuttgart, after a game of tragedy, elation, despair and salvation, means Australia now faces Italy in the round of 16 on Tuesday morning.

The gold-shirted stars insist winning is a realistic ambition. A wave of appreciation for what is one of Australia's greatest sporting achievements washed from Germany to Australia, bathing seas of supporters gathered in hotels and clubs around the country.

In Adelaide, more than two thousand fans flooded city streets after the game.

The early start and wintry weather did not deter the crowds, who paraded through the city and ended up on the steps of Parliament House.

Police closed off Rundle and Hindley streets for the celebrations. Before the game, the Stag and the Rosemont hotels were turning away people and the Marble Bar at Skycity was full. Suburban hotels and clubs, including the Croatian Sports Centre, also had good crowds. Back in Stuttgart and fresh from "scoring the most important goal of my career" - the second equaliser that clinched Australia a place in the next round -

Harry Kewell said: "Italy are out there to win the World Cup. So are we."

The incredible ambition, which weeks ago would have made us a laughing stock, came after the most remarkable comeback coach Guus Hiddink could have scripted.

Driven on by what Lucas Neill called "that Aussie spirit", the Socceroos proved how far they have come with a rip-roaring display. Even a calamitous error by goalkeeper Zeljko Kalac that gifted Croatia its second goal could not down them.

Now Australia faces Italy in Kaiserslautern and, after all the concentration on the team members with Croatian heritage, it is the turn of Italian-based Vince Grella and Marco Bresciano to come under the cultural spotlight.

With the plaudits of the Croatian players ringing in their ears, several saying Australia could win the Cup, the Socceroos believe they can provide more shocks.



http://www.theadvertiser.news.com.au

Mondial 2006: fureur des joueurs et des supporters australiens !

Kaiserslautern/Melbourne (Reuters) - Les joueurs et les supporters australiens étaient partagés entre incrédulité et colère après leur élimination par l'Italie en huitième de finale de la Coupe du monde de football (1-0) sur un penalty inscrit à la toute dernière seconde des arrêts de jeu.

Les Australiens considèrent que Fabio Grosso a délibérément plongé après le tacle de Lucas Neill et que l'Italie a donc obtenu un penalty qui n'existait pas.

"Je n'arrive pas à y croire. Nous sommes incrédules parce que tous ceux qui ont vu le match ont pu constater qu'il n'y avait pas penalty", a réagi le milieu de terrain australien Tim Cahill.

"Je suis furieux, c'est incroyable. (...) Nous devrions encore être dans cette Coupe du monde. Je respecte l'Italie, elle a une bonne équipe mais nous aussi."

Avant le penalty transformé par Francesco Totti, les Australiens ont joué à 11 contre 10 après l'exclusion de Marco Materazzi à la 51e minute.

Pourtant, le milieu de terrain Scott Chipperfield voit dans le penalty accordé à l'Italie le reflet d'un arbitrage favorable aux équipes présumées supérieures depuis le début du tournoi.

"Ils protègent les grandes équipes, ils veulent que les grandes équipes se retrouvent en demi-finales et en finale. C'est toujours pareil", s'est plaint Chipperfield.

"UNE DÉCISION ABSOLUMENT SCANDALEUSE"

L'Australie se sent particulièrement visée en raison de sa réputation d'équipe physique : "En football, nous sommes un petit pays guère favorisé. Tout ce que nous demandions, c'est de l'équité et je ne pense pas que nous l'ayons obtenue au cours des quatre matches", a jugé l'entraîneur adjoint Graham Arnold.

"Du bord du terrain comme sur les écrans de télévision, c'était une blague." Le capitaine Mark Viduka est sûr que les Socceroos se seraient imposés en prolongations sans ce penalty de dernière minute. "C'était complètement surréaliste. C'est très, très cruel", a-t-il commenté. "C'est un match que nous avons vraiment dominé et nous avions l'impression que si nous étions allés en prolongations, nous les aurions battus."

Le sentiment d'injustice était également perceptible chez les milliers de supporters rassemblés devant les écrans géants en Australie, malgré l'heure tardive du coup d'envoi (01h00 locale mardi).

Sur la place de la Fédération à Melbourne, le silence et l'étonnement ont vite laissé place à la colère.

"Cette décision est absolument scandaleuse", a lâché l'ancien sélectionneur Rale Rasic à l'antenne de la SBS.

http://challengestempsreel.nouvelobs.com

les Australiens ont joué à 11 contre 10 après l'exclusion de Marco Materazzi à la 51e minute